
La poésie engagée n'a de sens que déclamée et montrant de l'index l'ennemi à abattre.

Pour avoir été de cette race-là, Ayat ne pouvait que pécher à l'endroit du pouvoir. Et elle a péché. Elle a commis le "délit" de critiquer plus d'un symbole de la monarchie, entre autres le roi et son premier ministre, tous deux des al-Khalifa. C'est un lèse-majesté qu'elle paiera très cher.
Fin mars, dans la vague de répressions qui s'est abattue sur le Bahreïn pour mater la


A.Amri
11.05.11
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