dimanche 4 août 2013

Syrie: une famille décimée par les sanguinaires islamistes de la Nosra

Elle s'appelle Walaâ Youssef. Elle est étudiante à l'université de Damas. Et depuis 2005, elle fait de
l'assistance sociale à titre bénévole au sein d'une association composée de jeunes syriens.
Parce que cette association bénéficie du soutien de l’État, les jihadistes engagés en Syrie ont purement et simplement éliminé Walaâ. Mais comme à l'accoutumée, chaque fois qu'ils exécutent quelqu'un, que celui-ci soit un soldat ou un civil, les sanguinaires islamistes excellent toujours dans la barbarie, veulent constamment faire mieux pour nous persuader de la justesse de leur cause, de la noblesse de leurs boucheries. Aussi les bourreaux ont-ils agi de manière à faire de ce règlement de compte avec ce qu'ils considèrent des pro-Bachar un châtiment exemplaire en la circonstance, et c'en est un au delà de ce qu'on peut imaginer.
Walaâ Youssef a été égorgée comme un mouton. Avec la prière rituelle du sacrifice et la gorge tournée en direction de la Mecque. Pareillement son père, sa mère et ses deux sœurs ont été immolés sur le même autel. Au nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux.
De toute la famille Youssef qui vit au quartier Rokn Eddin au nord de Damas, seul le petit garçon -figurant sur cette photo aux bras de Walaâ- a été épargné. Et par miracle, le rescapé ne se trouvant pas à la maison à l'heure du sacrifice bénit.

A.Amri
04.08.2013

Aucun commentaire:

Quand les médias crachent sur Aaron Bushnell (Par Olivier Mukuna)

Visant à médiatiser son refus d'être « complice d'un génocide » et son soutien à une « Palestine libre », l'immolation d'Aar...