sur les tapis de prière desquelles
Vous avez interdit
Mon Dieu,
Seigneur

En réaction à ce vent de soulèvement intellectuel et citoyen qui souffle de l'Europe sur le sionisme et ses fondements, on assiste à une chasse aux sorcières dont les auteurs et leurs commanditaires font preuve de hargne certes mais aussi de vue courte qui n'est pas sans incidence sur les chasseurs eux-mêmes et la fin escomptée par leur action. Non seulement la persécution de la pensée et de l'expression est l'arme des lâches et des incapables mais cette arme s'avère aussi à double tranchant. Plus un intellectuel est persécuté plus il a "pignon sur rue". "L'effet pervers" de cette chasse aux sorcières, que la machine lobbyiste sioniste est incapable d'escompter, est mesurable déjà à travers de nombreux exemples. Les voix qu'on a voulu jusqu'ici proscrire et étouffer par la calomnie et l'ostracisme des sionistes sont aujourd'hui celles qui ont le plus de notoriété et d'autorité intellectuelles, que ce soit en Europe ou dans le reste du monde.
est un contradicteur impénitent et compétent des sionistes. Il a été convoqué ce 8 octobre 2010 par la police belge et interrogé durant une heure et demi, suite à une plainte déposée contre lui pour "incitation à la haine raciale". Une autre plainte a été déjà enregistrée contre lui au début de la semaine pour "antisémitisme".Qui sont les plaignants?
Derrière l'affaire Boumediene et Slaouti, il y a Sammy Ghozlane, un redresseur de torts antisémites qui cumule la présidence de deux associations sionistes: BNVCA (Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme) et SFSI (Secours Français pour les Sinistrés d'Israël). A ce jour, celui qui se vante publiquement d'être l'épée de Damoclès brandie par dessus les antisémites a déjà
poursuivi plus de 80 personnalités sur le sol français, toutes accusées d'incitation à la haine raciale.Quant aux poursuites visant Souhail Chichah en Belgique, elles émanent vraisemblablement d'associations juives appuyées par Joël Kotchk, Maurice Snowski et Viviane Teitelbaum, respectivement enseignants à l'ULB et députée bruxelloise du MR (Mouvement réformateur).Incitation à la haine raciale, ça veut dire quoi?Inutile de consulter Littré ou Larousse, ou tout autre dico des mieux référencés, pour trouver éventuellement un sens consacré par l'usage ou même un néologisme qui puissent assimiler l'appel au boycottage commercial d'un pays à un acte de racisme. Les faits qui ont conduit Alima Boumediene et Omar Slaouti à comparaître devant la justice française ne sont ni recensés dans les glossaires des insultes racistes ni pouvant l'être sous peu. Certes, la poétique sioniste est très fertile et il faut lui rendre cette justice qu'elle pond de temps à autre un beau néologisme (1) que le commun des hommes ne peut comprendre à la volée, mais de là à ce que la lutte pacifiste contre l'occupation devienne synonyme d'antisémitisme, il faut bien reconnaître que cette poétique enfourche un cheval ailé, un Pégase ou un dada de même sang, chargé de porter les éclairs et le tonnerre sur la cité francophone! Sammy Ghozlane ne le sait peut-être pas, ou l'a oublié, qu'au cœur même de Tel-Aviv, il y a des associations, des intellectuels, des citoyens(2) qui appellent au boycott des produits israéliens! Ces sémites nationaux sont-ils des antisémites, eux-aussi, justiciables et pendables au même titre que leurs acolytes les indigènes d'Europe? Et qu'attendre pour les faire comparaître devant les tribunaux de la France? Et tant qu'à combattre la haine et ses incitateurs, pourquoi exempter de ce bûcher les autochtones coupables du même délit, dont plus d'un -comme poussé par un vœu de pénitence expiatoire- a déjà formulé, en bonne et due forme, une requête de comparution! (3) Des milliers de Français, autant dans de nombreux pays ont péché par pensée et action contre les sionistes, comme Alima Boumediene et Omar Slaouti, par intime conviction que ce péché pour la justice et le respect des droits palestiniens vaut des honneurs et non des autodafés. Mais les sionistes ne l'entendent pas de telle oreille, qui doivent dresser déjà la liste des innombrables "sinistrés" et comptabiliser les dommages et intérêts que les poursuivis en justice auraient à verser à ces "sinistrés"!
tout à fait à l'intérieur de la Palestine occupée mais sur les frontières et au-delà. Certes, on lorgne incessamment du côté du Liban et, plus loin, de l'Iran dont la menace hante de façon obsessionnelle Israël. Mais on s'inquiète aussi de ces voix qui montent des pays amis. Le vent de la sédition intellectuelle qui souffle du Nord, faisant vaciller des mythes qu'on
palestinien, mais aussi parce que ces dégâts qui délient de plus
en plus de langues s'avèrent irréparables. Pogrom, Shoah, Holocauste, Antisémitisme, entre autres armes autrefois bien efficaces pour tétaniser la conscience universelle et l'aveugler face aux crimes d'Israël sont désormais sans effet, grippées, rouillées, usées, tout au plus bonnes pour la foire aux ferrailles ou le musée de la propagande, s'il en est un qui pourrait porter ce nom.
affres du monde moderne. A peine proféré, il impose la circonspection et paralyse la pensée critique. Brandi comme une menace, il enjoint au silence, comme si quelque chose de terrifiant et de sacré était en jeu, condamnant chacun à surveiller ses propos de crainte de blasphémer." C'est en ces termes que Bruno Guigue (8) décrit le mal séculaire tétanisant la conscience humaine et, de nos jours, devenant asservissant, liberticide, insupportable. "Est-il permis de critiquer Israël?" titre son livre Pascal Boniface. "Israël, parlons-en!" lui répliquent Michel Collon et ses amis, titrant le leur. "Sarkosy, Israël et les Juifs" renchérit Paul-Eric Blanrue, au nom de cette nouvelle Europe exaspérée, excédée d'avoir indéfiniment à tourner sept fois la langue dans la bouche avant de parler d'Israël.
immédiate corroborée chaque jour par des faits nouveaux, le verbe devient la terreur de celui qui ne peut plus le contrecarrer par le verbe, faute de rhétorique persuasive , c'est-à-dire d'arguments. La litanie de l'holocauste , répétons-le, a fait son temps. Même les enfants de la maison ne veulent plus de cette soupe maison, tant les bons apôtres l'ont déjà affadie. Après Chomsky et Norman Fienkelstein, ce sont des Israéliens qui montent au créneau, allument le feu au domicile. Qui, de nos jours, serait plus nazi que Shlomo Sand, le négateur du peuple juif, qui d'un trait de plume a démoli ce que les mythomanes, pris au piège de leur propre mensonge comme les apprentis sorciers par leur balai, en étaient venus à considérer plus qu'apodictique?Grâce à ces plumes qui n'opinent plus dans le sens de l'assentiment et du consentement pro-israélien, une conscience humaine nouvelle s'est érigée un peu partout, libérée du sentiment de culpabilité de l'après-guerre, et refusant d'endosser le prêt à penser quand il s'agit de traiter de l'antisémitisme ou du sionisme. Ce sont ces plumes qui terrifient désormais Israël, par ce que de plus en plus virulentes et porteuses des pires virus.
Quand les chiens de garde sionistes se sont révélés incapables de
se mesurer intellectuellement à Norman Finkelstein, ils ont décrété le blocus autour de lui. Ils ont tout fait pour l'affamer en vue de le mettre à genoux. Après les campagnes de diffamation, on a claqué à son nez les portes de l'université. Et à ce jour, Norman Finkelstein est interdit d'enseigner. Mais ces redresseurs de torts ne pouvaient pas prévoir l'effet pervers de leur hargne, le contrecoup d'un tel coup bas. Depuis qu'il est devenu Gazaoui aux USA, Norman Finkelstein ne cesse de gagner en popularité comme en autorité dans le monde entier. Son nom et son œuvre n'en sont que plus rayonnants, cités et sollicités, alors que le sionisme n'en est que plus pitoyable et dénudé.
ce que tu veux, mais tu seras interdit de circuler. Pas un éditeur ni un diffuseur français n'autoriseront tes livres à se faire lire." Néanmoins, toujours par effet de cette publicité indirecte que les sionistes ont faite à l'exclu de l'édition et diffusion locales, jamais Paul-Éric Blanrue n'a été aussi lu et connu que depuis sa mise en disgrâce par ses éditeurs et diffuseurs français.
cessé de le suivre depuis écrit:" Depuis des années, il fait systématiquement salle comble dans toutes les villes francophones où il se produit. Il donne ses spectacles à guichets
fermés à Londres, Dublin, Beyrouth ou Alger. Son dernier show intitulé « Mahmoud », joué dans son théâtre parisien, cartonne depuis le mois de juin avec plus d’un millier de spectateurs par semaine. Au-delà de ses engagements politiques, beaucoup - y compris parmi ses pairs - reconnaissent son talent artistique et, pour certains, s’en inspirent. Tout cela, malgré un discours médiatique français qui, depuis six ans, garde le silence sur chacun de ses nouveaux spectacles et le qualifie, contre toute réalité, « d’ex-humoriste » (9). Voila ce qu'il est advenu de Dieudonné que les sionistes clouent au pilori depuis sept ans.
Conclusion
déjà entamée, je n'ai d'autre choix que la mener à son dénouement. En vérité, de son vivant Boucetta était ce que l’on peut appeler rétrospectivement un SDF. Sans doute le meilleur de son rang, inégalé, sans pair aucun ni en Tunisie ni dans les pays mêmes où les SDF ont acquis ce statut de citoyens à part entière en même temps que ce sigle qui le dit si bien. Et cet SDF qui est parti un jour sans trop se faire remarquer, si ce n'est par des nostalgiques du "bon vieux temps" qui l'évoquent parfois à travers une anecdote comme celle-ci, avait une longue histoire bien ancrée dans le passé. Une histoire qui remonte à l'époque de la Tunisie beylicale. Et qui s'enchâsse aussi dans celle du protectorat français.
Il est des supplices, des passions que nous ne soupçonnons pas dans ce monde saturé d'écrits et de dits, et jamais assez dit ni écrit quand même. Ces abcès increvables de la parole renvoyée à sa gorge, saucissonnée en travers du gosier, quand ils en viennent à imploser sous la plume d'un auteur de talent, injustement méconnu, donnent un écrit qui a tout pour ravir les fins gourmets des nourritures spirituelles.![]() |
| Denis Marulaz |

Il y a une trentaine d'années, l'auteur de ces lignes , fils d'immigré, séjournait en France où il faisait des études littéraires françaises.
Aujourd'hui et depuis un bail enseignant dans les lycées tunisiens, l'ex-nanterrois voudrait prétendre à un droit d'ingérence dans la politique française. Votre Excellence conviendra que l'État qui se targue d'être l'inventeur de cette expression devenue belle formule incantatoire dans la bouche de certains politiques (1), au risque de prêcher dans le vide, ne pourrait accréditer cette sacro-sainte ingérence s'il n'admet pas pour lui-même les règles que son droit entend appliquer vis-à-vis des états tiers.
Parce qu'il enseigne votre langue, les valeurs républicaines auxquelles il adhère depuis sa prime jeunesse et que face à la profanation de ces valeurs, il en vient à EN SAIGNER plus qu'à enseigner, votre ancien camarade juge de son droit comme du salut de son enseignement d'interpeller les instances politiques en France, et la plus haute en premier chef, pour rappeler que ce droit n'est pas une prérogative française.
Monsieur le Président,
La France qui fait la chasse aux Roms, à cette sous-humanité qu'elle appelle "Gens du voyage", n'est pas en meilleure posture que le Soudan des Janjaouid. Les méthodes sont peut-être moins soudanaises, et tant mieux! mais au vu des résultats que la politique répressive entend réaliser dans votre pays, c'est la même épuration ethnique, puisqu'on voudrait bouter hors de France ce sang tsigane impur, au mépris des lois et des conventions signées par votre État.
La France qui voudrait retirer la nationalité à des Français d'origine étrangère, quel que soit le motif invoqué, mais aussi au vu même du motif invoqué par son président, n'est pas en meilleure posture que les États du Sud, qu'elle appelle de "vive voix" à respecter le droit et fustige pour des atteintes inacceptables aux libertés élémentaires de l'homme. Quand l'ancien étudiant en droit, fils d'immigré et aujourd'hui marié à une immigrée, brandit cette menace en direction d'un autre sang impur, quand il suppose et présuppose que le sang pur ne tue pas des policiers, l'ancien camarade voudrait rappeler au camarade ancien (2) que cela s'appelle du racisme, de la ségrégation raciale, de la xénophobie et que ces tares réunies ne font pas partie des valeurs françaises que l'ancien camarade enseigne!
La France qui fait la chasse aux musulmanes parce que celles-ci ne respectent pas un certain code vestimentaire laïc n'est pas en meilleure posture que les pays non laïcs qu'elle fustige pour leur oppression de la femme. Le droit à la différence, c'est aussi une valeur que nous devons aux philosophes des Lumières et défendons opiniâtrement dans notre enseignement. Nous défendons aussi les droits de l'homme, le droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion. Si Paris abjure le Palais Chaillot, si le Président de la France abjure ses Droits, qui prêtera à l'ancien camarade un quelconque crédit pour défendre auprès des siens la tolérance et le droit?
Votre Excellence pourrait rétorquer à l'ancien camarade que la France ne fait qu'appliquer chez elle ce que certains pays musulmans ont osé faire depuis des années. Soit! mais c'est justement parce que ces pays musulmans ne sont pas habilités à donner un exemple à suivre en matière de démocratie et de respect des droits que la France ne peut s'en inspirer pour "promouvoir" sa propre démocratie.
Monsieur le Président,
La France qui limoge un responsable administratif (3) pour avoir écrit un article pas conforme aux idées du prêt à penser, la France qui envoie en prison un intellectuel qui a osé repenser un sujet de l'histoire humaine et refuser la momification de la vérité (4), la France qui empêche des auteurs réfractaires à la pensée unique de se faire éditer et diffuser sur son sol (5), la France qui exerce la terreur sur des librairies et des maisons d'édition,(6) le tout au nom d'une idéologie dominante à obédience sioniste, peut-elle soutenir encore son droit d'ingérence pour dénoncer tel ou tel obscurantisme dans les pays du Sud? Il ne manquerait à votre grand pays, appelé berceau des Lumières dans les manuels scolaires de l'ancien camarade et ses enseignés, qu'une belle fatwa en bonne et due forme, de même veine que celle qui frappe l'auteur des Versets Sataniques pour nous donner le juste ton de ces Lumières rendant méconnaissable la France à enseigner!
Monsieur le Président,
La France officielle se bat depuis des années pour la libération d'un jeune soldat israélien détenu en otage par la résistance palestinienne. Raison invoquée pour justifier ce combat: le jeune captif est de nationalité franco-israélienne. Cette même France officielle oublie curieusement qu'il y a un autre Français, pas moins français que le premier, qui croupit dans les prisons israéliennes depuis 2005, dans l'indifférence totale du pouvoir que vous incarnez. Parce que l'un s'appelle Gilad Shalit et l'autre Salah Hammouri, que l'un est franco-israélien et l'autre franco-palestinien, l'État français peut s'accommoder de ce deux poids deux mesures lui permettant le droit d'ingérence pour l'un et le droit d'indifférence pour l'autre. L'ancien camarade comprend votre excuse, Monsieur le Président, mais pour faire ingérer cette excuse à ses enseignés, vous conviendrez que la tâche n'est pas facile.
Monsieur le Président,
Notre éminent philosophe BHL, Madame la Présidente et Votre Excellence, sans oublier Monsieur le Ministre des Affaires Étrangères, avez pris fait et cause pour cette malheureuse Skineh condamnée à la peine de lapidation en Iran. La cause en soi n'a rien de répréhensible pour l'ancien camarade, si ce n'est que la lapidation de Skineh par les mollahs ne peut occulter la lapidation de tout le peuple iranien par les médias et les officiels français. Ceux qui font tout pour anéantir l'Iran, ceux qui calomnient de façon systématique ce pays et diabolisent ses dirigeants pour des fins belliqueuses servant l'intérêt d'Israël sont-ils habilités à défendre le droit d'une iranienne condamnée pour un double crime de droit commun?
Et puis, Monsieur le Président, pourquoi notre éminent philosophe BHL, Madame la Présidente et Votre Excellence, sans oublier Monsieur le Ministre des Affaires Étrangères, êtes vous si prompts à réagir pour sauver une personne dans le monde musulman, et ABSENTS, totalement absents, quand il s'agit d'arrêter des tueries, des massacres, des répressions et oppressions frappant des millions d'hommes et de femmes en Palestine?
La vie de ces millions est-elle à ce point insignifiante pour justifier encore ce deux poids deux mesures?
A.Amri
03.09.10
1-En vérité l'État n'a rien inventé, à ce propos précis. Le droit d'ingérence est un vieux dada de Kouchner, celui-ci ayant fait d'une expression qu'on doit à Jean François Revel son cheval de bataille, dans les années 80, pour s'adjuger un nom de Marquis dans l'Humanitaire. L'actuel chef de la diplomatie française, Caméléon de politique par excellence, n'a conservé de l'Humanitaire qu'un fétu de paille, si ce n'est moins, qui ne le qualifie qu'à confirmer son parcours de politique félon.
2- Tant que Nicolas Sarkosy n'affichait pas les couleurs, il a dû se faire appeler bon gré mal gré "camarade". Mais ce camarade a la malchance de perdre un jour dans les locaux d'études un papier compromettant, retrouvé peu de temps après par les maîtres de céans. Les murs de la fac qui le dénoncent alors comme un nervi du pouvoir et un fasciste l'ont voué depuis au bannissement. (Voir à ce sujet Nicolas Sarkozy Secrets de jeunesse.)
3- Bruno Guigue a été démis de ses fonctions de sous-préfet de Saintes le 8 avril 2009 pour avoir écrit un article qui critique Israël.
4- En vertu de la loi Gayssot qui pénalise le négationnisme, Vincent Reynouard est condamné à un an de prison et 60 ooo euros d'amende. Il purge sa peine depuis le 9 Juillet 2010.
5- C'est le cas du Français Paul-Eric Blanrue, auteur de Sarkozy, Israël et les Juifs mais aussi de ses amis belges Jean Bricmont et Michel Collon pour des œuvres antisionistes.
6- Le 3 juillet 2009, la librairie Résistances connue pour sa lutte contre le racisme, le colonialisme et pour le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes a été saccagée par un commando se réclamant de la Ligue de défense juive (LDJ).
Visant à médiatiser son refus d'être « complice d'un génocide » et son soutien à une « Palestine libre », l'immolation d'Aar...